Les systèmes complexes se situent à la frontière de l’ordre et du chaos (Joël de Rosnay, Jean-Claude Heudin)
Approches analytique et systémique sont plus complémentaires qu’antagonistes. Le lien entre elles a pour nom chaos (Joël de Rosnay)
Toute oeuvre d’art est une possibilité permanente de métamorphose, offerte à tous les hommes (Octavio Paz)
Le monde de l’art n’est pas celui de l’immortalité, c’est celui de la métamorphose (André Malraux)
Le philosophe, maître de la métamorphose, capable de transformer en permanence sa puissance d’agir et de penser (Giordano Bruno)
Les systèmes nouveaux apparaissent en bordure du chaos par émergence de processus auto-organisés (Christopher Langton)
Les grands systèmes interactifs évoluent naturellement vers un état critique en bordure du chaos (Per Bak)
L’évolution, grâce à l’adaptation, déplace les systèmes le long de la bordure du chaos vers une plus grande complexité (Kauffman, Waldrop)
La capacité d’un système à traiter un maximum d’information est maximale en bordure du chaos (Langton, Packard)
Celui qui se représente un arbre est forcé de se représenter un ciel ou un fond pour l’y voir s’y tenir (Paul Valéry)
Less is more (Ludwig Mies van der Rohe)
Connecter les informations (web 1.0), les gens (web 2.0), les connaissances (web 3.0), les intelligences (web 4.0) (Joël de Rosnay)
Innover n’est pas tant avoir des idées qu’établir des connexions (Harold Jarche)
La vraie musique suggère des idées analogues dans des cerveaux différents (Charles Baudelaire)
L’utopie n’est que le nom donné aux réformes lorsqu’il faut attendre les révolutions pour les entreprendre (Jacques Attali)
La littérature a pour charge d’arracher aux mots leur vieille simplicité, les dénuder dans l’éblouissante lumière de la doxa révélée (Sarah Vajda)
On a (presque) toujours le choix entre, ou changer de manière de jouer, ou changer la règle du jeu, ou changer de jeu, ou ne pas jouer (Bernard Georges)
La logique a beau être inébranlable, elle ne résiste pas à un homme qui veut vivre (Franz Kafka)
Les étoiles, on ne les désire pas ; on est heureux qu’elles scintillent (Johann Wolfgang von Goethe)
Il n’y a pas de hors-texte (Jacques Derrida)
Le théâtre n’est fait que pour être vu (Molière)
Il n’y a pas de préjugés anodins (Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevsky)
Le style n’est que l’ordre et le mouvement qu’on met dans ses pensées (Buffon)
Le style doit graver des pensées (Buffon)
Bien écrire, c’est à la fois bien penser, bien sentir et bien rendre ; c’est avoir en même temps de l’esprit, de l’âme et du goût (Buffon)
Les ouvrages bien écrits seront les seuls qui passeront à la postérité (Buffon)
Quand le sage montre la lune, le sot regarde le doigt (Lao-Tseu)
Il ne faut pas s’en prendre au miroir quand on s’y voit laid (Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine)
La forme, c’est un peu le fond qui remonte à la surface (Victor Hugo)
Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page (Saint Augustin)
Le commencement est beaucoup plus que la moitié de l’objectif (Aristote)
L’art naît de contraintes, vit de lutte et meurt de liberté (André Gide)
Les fous ouvrent des voies qu’empruntent ensuite les sages (Carlo Dossi)
Sarah Vajda (oxymore, inter-théâtralité, intertextualité) + Edgar Morin (tissés ensemble, complexité, faire système)
D’un oxymore à l’autre surgit le chaos de la pensée ! (Sarah Vajda)
La littérature modifie le regard, l’être au monde, infléchit le cours des pensées, met l’accent sur un versant l’autre du Réel (Sarah Vajda)
En peu de temps parfois on fait bien du chemin (Molière)
La sagesse est de beaucoup la première des conditions du bonheur (Sophocle)
La diplomatie est la connaissance des rapports internationaux, des intérêts respectifs des États (Littré)
La peinture est une poésie qu’on voit au lieu de l’entendre, la poésie une peinture qu’on entend au lieu de la voir (Léonard de Vinci)
Le présent n’est pas un passé en puissance, il est le moment du choix et de l’action (Simone de Beauvoir)
Je suis ma liberté ! (Jean-Paul Sartre)
L’homme ne se construit qu’en poursuivant ce qui le dépasse (André Malraux)
On a déjà pensé à tout ; le problème est d’y penser à nouveau (Johann Wolfgang von Goethe)
L’art n’a d’autre objet que d’écarter tout ce qui nous masque la réalité, pour nous mettre face à la réalité elle-même (Henri Bergson)
La beauté n’est que la promesse du bonheur (Stendhal)
L’art n’est pas la représentation d’une belle chose mais la belle représentation d’une chose (Emmanuel Kant)
Ce que nous appelons connaître est un processus de remémoration (Platon)
Nous sommes tous des médiateurs, des traducteurs (Jacques Derrida)
L’homme est une invention récente (Michel Foucault)
La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un coeur d’homme, il faut imaginer Sisyphe heureux (Albert Camus)
L’histoire ne nous appartient pas, c’est nous qui lui appartenons (Hans-Georg Gadamer)
Ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont condamnés à le répéter (George Santayana)
Nos actions et nos décisions rendent vraie notre croyance en une idée (William James)
L’angoisse est le vertige de la liberté (Soren Kierkegaard)
L’intuition sans concept est aveugle, le concept sans intuition est vide (Emmanuel Kant)
La connaissance d’un homme ne peut aller au-delà de son expérience (John Locke)
Chaque homme prend les limites de son propre champ de vision pour les limites du monde (Arthur Schopenhauer)
Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde (Ludwig Wittgenstein)
La vie est une série de collisions avec l’avenir (José Ortega y Gasset)
Je suis moi et ma circonstance, et si je ne la sauve pas, je ne me sauve pas moi-même (José Ortega y Gasset)
La ville est sujette à des processus d’auto-organisation dans lesquels le temps est facteur de création (Alain Farel)
L’irréversibilité du temps est dans la matière, et pas seulement dans l’esprit (Ilya Prigogine)
Nous ne pouvons connaître le monde que par des interactions irréversibles (Léon Rosenfeld)
Le temps est invention, ou il n’est rien du tout (Henri Bergson)
On ne peut pas entrer deux fois dans le même fleuve (Héraclite)
Le passage du microscopique au macroscopique s’opère au travers d’un processus de décohérence (…)
Tous les systèmes complexes ont des échelles distinctes qui coopèrent pour définir un tout cohérent (…)
L’échelle est la règle de passage d’un espace à l’autre (Philippe Boudon)
La vie exhibe une structure obéissant à des lois générales ou à la contingence, tout dépend de l’échelle (Stephen Jay Gould)
Les incohérences naissent de la confusion entre plusieurs niveaux d’échelle (Gregory Bateson, Paul Watzlawick)
La conscience naît de l’enchevêtrement entre plusieurs niveaux d’échelle (Douglas Hofstadter)
La réalité perçue diffère selon le niveau d’échelle (Laurent Nottale)
La réalité perçue est composition de mouvements (espace, temps, résolution, catégories) non additifs (cf. relativités) (Bernard Georges)
La qualité n’est pas un état naturel, elle se construit (R. Danjou, Th. Scheck)
La Non Qualité induit des comportements pathologiques dans l’entreprise (Bernard Georges)
Il est nécessaire de comprendre les actions qui réussissent pour comprendre celles qui échouent (E. Hollnagel)
Suivre des procédures chaque fois qu’il s’agit de respecter des exigences de précision ou de prudence (M. Buckingham, C. Coffman)
La maîtrise du risque est l’idée qui place des frontières entre les temps modernes et le passé (P. L. Bernstein)
Le bon sens est une mobilité de l’intelligence qui se règle exactement sur la mobilité des choses (H. Bergson)
Voyez maintenant à quel ridicule l’esprit s’expose, quand il est mal employé ! (W. Shakespeare)
Dans notre société globalisée et complexe, il n’y a pas de confiance possible sans contrôle (E. Auriol)
Dans la quête de réduction de la complexité, la violence est souvent le substitut de la confiance (M. Monroy)
La confiance est un réducteur de complexité, et la défiance est un générateur de complication (J-P. Gaillard)
La baisse de confiance au sein d’un système entraîne sa fragmentation, par repli puis isolement de ses parties (…)
La confiance agit comme un facteur de réduction du risque et de la complexité (G. Simmel, N. Luhmann, A. Giddens)
Le courage entraîne la confiance, qui amène la solidarité, qui renforce le courage (…)
Etre courageux c’est choisir, et choisir c’est renoncer (P. Mercier)
Il faut apprendre à agir sans tout maîtriser, car l’essentiel est d’avancer (Approche systémique)
Nos programmes limitants sont la mémoire de nos échecs (Ecole de Palo Alto)
On ne fuit pas parce qu’on a peur, on a peur parce qu’on fuit (S. Weil)
Il y a dans la vie quelque chose de pire que de ne pas avoir réussi, c’est de ne pas avoir essayé (F. Roosevelt)
Marcheur il n’est pas de chemin, en marchant se construit le chemin (A. Machado)
Là ou se trouve une volonté, il existe un chemin (W. Churchill)
Action this day (W. Churchill)
Vous devez être le changement que vous désirez voir en ce monde (Mahatma Gandhi)
Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse (Proverbe arabe)
Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Charles le Téméraire – Guillaume d’Orange)
Les choses sont difficiles car nous n’osons pas les faire (Sénèque le Jeune)
Le ‘pourquoi’ permet de donner du sens et le ‘comment’ de résoudre les problèmes (…)
Les gens veulent faire partie de quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes (H. Schultz)
Une équipe performante a besoin de partager une vision (…)
La plus grande utopie serait de penser que l’on peut se passer d’utopie (…)
Lorsqu’un système n’a aucun but à atteindre, tous les moyens qui lui sont consacrés sont superflus et inutiles (S. Poirot-Delpech)
Dans une communication avec objectif, la relation se régule en fonction de l’objectif (Françoise Kourilsky)
Une vision est une opinion qui répond en une phrase à des attentes profondes, exprimées ou non (Rowan Gibson)
Il ne suffit pas d’imaginer le futur, il faut aussi le construire (Rowan Gibson)
Une vision assure une forme de continuité entre le passé, le présent et l’avenir (Patrick Mercier)
Les grandes organisations doivent entretenir l’ardeur par le choix de cibles spectaculaires et accessibles (P. Calame)
Si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité (H. Friedrich)
Vise une cible lointaine, et la flèche frappera sûrement la cible qui est plus proche (M. Gray)
Pour abandonner une théorie, il faut proposer une théorie en remplacement (H. A. Simon)
Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer (A. de Saint-Exupéry)
Une société sans rêve est une société sans avenir (C. G. Jung)
Nous sommes tissés de l’étoffe dont sont faits nos rêves (W. Shakespeare)
Il n’y a pas de vent favorable pour ceux qui ne savent pas où ils vont (Sénèque le Jeune)
Innover c’est survaloriser la différence (P. Jouxtel)
Tout le monde dit qu’il en est ainsi, mais ça ne prouve en rien qu’il ne puisse en être autrement (P. Raynaud)
L’innovation naît du ‘déplacement’ (A. Shapero, Th. Gaudin)
On n’échappe pas à l’imaginaire, mais on peut essayer d’en changer (J-B. Pontalis)
Quand on échange deux objets, chacun n’est riche que d’un seul objet. Quand on échange deux idées, chacun est riche de deux idées (…)
J’ai assez d’idées pour qu’on puisse me voler sans me nuire (A. Malraux)
L’imagination est plus importante que la connaissance (A. Einstein)
Il y a ceux qui imaginent les choses telles qu’elles pourraient être et se disent … pourquoi pas ? (G. Bernard Shaw)
Qui maîtrise l’analogie, maîtrise le monde (Aristote)
Failing to plan is planning to fail. Get your workout plan! (…)
Ceux qui planifient font mieux que les autres, même s’ils ne suivent jamais leur plan (A. Shapero)
Considérer l’impossible comme certain (J-P Dupuy)
Qui a tout prévu devient négligent (Trente-six stratagèmes)
Il est probable que l’improbable arrivera (Agathon)
Conserver le sens pour éviter le débordement cognitif (…)
Tout comportement est pertinent par rapport à un projet ; en systémique, le problème est la solution (A. Yatchinovsky)
Distinguer sans disjoindre, relier sans confondre (E. Morin)
Toujours regarder un problème en le replongeant dans un plus grand tout (Approche systémique)
A défaut d’être nommé, un objet EST l’endroit où il se trouve (…)
Quand on parle d’un objet, on ne fait que parler de la relation que l’on a avec cet objet (Ecole de Palo Alto)
Tout ce qui a un nom existe, au moins dans la ‘carte‘, si ce n’est dans le ‘territoire’ (…)
Nommer (…)
En supprimant les termes abstraits, les problèmes disparaissent, faute d’un lexique pour les désigner (P. Raynaud)
L’individu, en tant que système, n’existe que dans la mesure où il fonctionne, où il entre en interaction (P. Raynaud)
La rhétorique est constitutive de l’expertise (B. Latour, S. Poirot-Delpech)
L’action de faire sens se ramène à la production d’une forme dense (A. Cardon)
En trouvant le monde comme nous le trouvons, nous oublions ce que nous avons fait pour le trouver ainsi (F. Varela)
La simplification du compliqué appliqué au complexe entraîne une aggravation de la complexité (J-L. Le Moigne)
‘Je’ suis les liens que je tisse avec les autres (A. Jacquard)
Le manager remplace une construction de la réalité qui n’est plus adaptée par une autre qui l’est mieux (P. Watzlawick)
Le langage ne reflète pas la réalité, il la crée (P. Watzlawick)
Comprendre c’est avant tout unifier (A. Camus)
‘A’ va mieux quand ‘B’ va mieux (H. von Foerster)
Agis toujours en vue d’augmenter le nombre de choix possibles (H. von Foerster)
Si tu veux voir, apprends à agir (H. von Foerster)
Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous verrez tout problème comme un clou (A. H. Maslow)
Etre c’est faire, je suis ce que je fais (J-P. Sartre)
L’homme doit s’inventer continuellement, il est ce qu’il se fait (J-P. Sartre)
Pour résoudre la plupart des problèmes, le ‘comment’ est préférable au ‘pourquoi’ (G. Bateson, P. Watzlawick)
La pensée (la culture) est déterminée par (la structure de) la langue qui l’exprime (B. L. Whorf)
L’intelligence organise le monde en s’organisant elle-même (J. Piaget)
Le nom n’est pas la chose et la carte n’est pas le territoire (A. Korzybski)
Rendez les choses aussi simples que possible, mais pas plus simples (A. Einstein, W. Heisenberg)
L’objectivité pure n’existe pas et même l’observateur est indissociable de l’expérience (A. Einstein, W. Heisenberg)
Nous ne raisonnons que sur des modèles (P. Valéry)
Le véritable voyage de découverte consiste … à avoir de nouveaux yeux (M. Proust)
Faire des mathématiques, c’est donner le même nom à des choses différentes (H. Poincaré)
Le langage n’est pas quelque chose de fait, d’accompli, mais une activité en train de s’accomplir (G. de Humboldt)
Le langage fabrique les gens plus que les gens ne fabriquent le langage (J.W. Von Goethe)
Il est essentiel de comprendre que tout fait est déjà une théorie (J.W. Von Goethe)
Le style c’est l’homme (Buffon)
Les lois inutiles nuisent aux lois nécessaires (Montesquieu)
Il ne faut jamais poser une pluralité sans y être contraint par la nécessité (G. d’Ockham)
Il ne faut jamais poser une pluralité sans y être contraint par la nécessité (G. d’Ockham)
Un nouveau mot permet d’éveiller l’intelligence à un nouveau concept (B. Lecerf-Thomas)
Les phénomènes de réplication se propagent de manière exponentielle (…)
Les idées qui ont du succès maximisent l’information nouvelle par rapport à l’information déjà connue (P. Jouxtel)
La plupart du temps, ce n’est pas nous qui agissons, ce sont des systèmes qui pondent (P. Jouxtel)
Les formes codées se reproduisent mieux que les formes non codées (P. Jouxtel)
L’important est comment une idée acquiert des hommes, et non comment un homme acquiert des idées (A. Lynch)
Nous n’achetons pas des marchandises, mais les histoires qu’elles racontent (Ch. Salmon)
Admettre une axiomatique sans en avoir conscience, c’est devoir subir tous ses théorèmes et corollaires (P. Raynaud)
Les idées partagent des ressources limitées : l’attention, la mémoire, et la faculté d’expression (R. Dawkins, S. Blackmore)
Sous diverses formes codées, les représentations mentales se propagent d’un individu à l’autre (J-P. Changeux)
Il y a une chose plus forte que toutes les armées du monde, c’est une idée dont le temps est venu (V. Hugo)
Les réactions immunitaires sont provoquées par du ‘jamais vu’ (E. D. Carosella, Th. Pradeu)
Toute analyse n’exprime que nos désirs inconscients : la valorisation de nous-mêmes à nos yeux et à ceux de nos contemporains (H. Laborit)
Le seul comportement inné du système nerveux est l’action gratifiante (H. Laborit)
Les automatismes sociaux rendent cohérentes les contradictions : un homme non convaincu par l’évidence est incapable de la comprendre (H.La)
Dans un homme qui parle, il y a ce qu’il dit et qui se comprend, ce qu’il ne dit pas et qui le fait dire, ce qu’il dit sans le savoir (Henri Laborit)
La seule raison d’être d’un être c’est d’être, c’est-à-dire de maintenir sa structure (H. Laborit)
L’inhibition de l’action, où lutte et fuite sont impossibles, est source de désordre (H. Laborit)
Les motivations neurobiologiques des comportements humains constituent la base des rapports sociaux ( P. D. MacLean, H. Laborit)
Un système autonome hiérarchise ses finalités (A. H. Maslow)
Une relation entre individus n’est possible que s’ils détournent leur agressivité vers un ennemi commun (K. Z. Lorenz)
La motivation s’accumule progressivement jusqu’à atteindre un seuil critique déclenchant (K. Z. Lorenz)
Il existe une tendance forte à se comporter de façon plus morale quand on se sent observé (M. Bateson)
L’être humain a besoin de croire (…)
La chose devient ce qu’on la nomme et la chose nommée finit par exister ; le mot devient ainsi prophétie (F. Kourilsky)
Le stress survient d’un déséquilibre entre la perception des contraintes et la perception des ressources (Ag Eur pour Séc et Santé au Trav)
La violence commence où la parole s’arrête (M. Halter)
La logique industrielle, en divisant les tâches, occulte chez les exécutants la portée globale de leurs actes (S. Milgram, H. Arendt)
L’individu accorde ses idées à ses actes (S. Milgram, R-V. Joule, J-L. Beauvois)
Les gens ne savent pas ce qu’ils veulent jusqu’à ce qu’on le leur propose (T. Conran)
L’exposition répétée à un stimulus suffit à faire augmenter l’agrément ressenti par les sujets à son égard (R. L. Moreland, R. B. Zajonc)
Une prophétie auto-réalisatrice se réalise parce ce plusieurs personnes croient qu’elle doit se réaliser (R. K. Merton)
Un individu étiqueté comme malade dans une famille est la victime d’un système familial pathologique (Ecole de Palo Alto)
Les injonctions paradoxales sont sources de confusion (G. Bateson, P. Watzlawick)
Nous réécrivons l’histoire, inventant le passé pour qu’il soit conforme à nos besoins présents (W. McCulloch)
L’occurrence simultanée de deux événements sans lien de causalité peut prendre du sens pour un sujet (C. G. Jung)
Tout ce qui ne remonte pas à la conscience nous remonte sous forme de destin (C. G. Jung)
Si les hommes définissent des situations comme réelles, alors elles sont réelles dans leurs conséquences (W. I. Thomas)
Ce qui ne peut se remémorer fait retour par la répétition dans la vie et à l’insu du sujet (S. Freud)
Tout ce qui n’est pas liquidé est projeté (S. Freud)
Chez la plupart des hommes la répétition crée des certitudes, génératrices d’action (G. Le Bon)
La prophétie est fréquemment la cause principale de l’événement prédit (Th. Hobbes)
C’est la pensée qui fait que le malheur a si longue vie (W. Shakespeare)
Les individus prennent les questions telles qu’on leur pose, sans se demander si formulées autrement ils répondraient autrement (R. Thaler)
Les organisations sous-évaluent ce qui fonctionne bien et surévaluent ce qui fonctionne mal (…)
L’attention portée à un événement dépend d’une actualisation subjective au point spot (ici, maintenant) (…)
La guerre débute quand une partie pense ‘objectivement’ que son point de vue est meilleur que celui de l’autre partie (P. Raynaud)
Nous sommes manipulés par nous-mêmes, par nos propres croyances (P. Raynaud)
Ne sont appropriables que les objets dans lesquels on peut se reconnaître (C. Moricot)
Les individus ne peuvent agir qu’à condition de faire œuvre de coordination (L. Thévenot)
Notre capacité de description s’accroit beaucoup plus vite que notre capacité de compréhension (Ch. Goldfinger)
Nous faisons des erreurs parce que l’erreur est interdite ! (René Amalberti)
Le symptôme de dérèglement est de ne pas détecter et récupérer les erreurs (René Amalberti)
Les individus décident souvent d’agir avec constance dans un sens totalement contraire à leur but (Ch. Morel)
L’être humain cherche des régularités et fait passer la complexité dans les canaux de schémas narratifs (S. J. Gould)
Toute représentation exprime des préférences sur les régularités et les causes de l’histoire de la vie (…)
La rationalisation de l’activité cognitive et affective procède du désir d’une mise en intrigue du monde lui donnant sens (P. Ricoeur)
Les limites de nos schémas conceptuels déterminent la nature des questions que nous nous posons (R. Lewontin)
Une idée parait toujours évidente, une fois que vous avez oublié que vous l’aviez apprise (M. Minsky)
On n’aperçoit que les problèmes que l’on sait traiter (M. Crozier, E. Friedberg)
La plus grande source d’erreur réside dans l’idée de vérité (E. Morin)
L’homme raisonne séquentiellement et s’arrête de chercher dès qu’il trouve une solution satisfaisante (H. A. Simon)
Les comportements privilégiés paraissent les plus simples (M. Merleau-Ponty)
Il est impossible de résoudre les problèmes avec le même cerveau que celui qui les a causés (A. Einstein)
Quelquefois, ce qui compte ne peut être compté et ce qui peut être compté ne compte pas (A. Einstein)
Il ne suffit pas qu’une chose soit vraisemblable pour être vraie (V. Pareto)
Une grenouille cuite à petit feu ne bouge pas, alors que jetée dans l’eau elle bondit pour s’échapper (G. Stanley Hall)
Le vrai consiste simplement dans ce qui est avantageux pour la pensée (W. James)
Ce n’est pas ce que les gens ignorent qui cause des problèmes, c’est ce qu’ils savent et qui n’est pas vrai (Mark Twain)
L’obsession des chiffres est le signe avant-coureur de nos actions hasardeuses (J. W. Von Goethe)
L’esprit est orienté par les choses que l’on voit le plus souvent (Marc-Aurèle)
La structure de la réalité perçue varie avec le degré de résolution (L. Nottale)
On ne peut connaître entièrement un système en restant à l’intérieur de ses frontières (K. Gödel)
L’observation perturbe le phénomène (W. Heisenberg)
Cela prend toujours plus de temps qu’on croit (D. Hofstadter)
Respecter les temps de réponse (J. de Rosnay)
Toute activité enfle jusqu’à consommer entièrement le temps et les ressources qui lui ont été alloués (C. N. Parkinson)
Les phénomènes de réplication se propagent de manière exponentielle (…)
La répétition d’une action anodine a des conséquences considérables, il suffit d’attendre assez longtemps (…)
Tout individu a une tendance naturelle à pratiquer d’abord les choses qui le motivent et lui font plaisir (H. Laborit)
La seule contrainte utile est celle qui exprime la fonction de sélection du système (…)
La capacité de changement d’un groupe est déterminée par sa diversification et sa surabondance (M. Crozier, E. Friedberg)
Interagir avec les ressources positives de l’environnement (…)
Toutes choses égales par ailleurs, une organisation favorise la solution qui minimise la mutualisation et maximise son pouvoir (…)
Le mutualisme permet de donner naissance à des organisations d’un niveau de complexité supérieur (L. Margulis)
Chacun des partenaires d’une association mutualiste n’a d’autre objectif que de transmettre son code (C. Combes)
Le vivant est sculpté par la modulation des signaux réprimant les processus d’autodestruction (J-C. Ameisen)
L’espace est révélé par l’articulation des pleins et des vides (Ch. de Portzamparc)
Les ressources excédentaires détruisent les pleins en remplissant les vides (…)
Il y a un seuil, entre complication et complexité, où les lois de l’évolution auto-organisatrice se nuancent toujours (J-L. Le Moigne)
Passé un certain seuil, l’outil, de serviteur, devient despote (I. Illich)
Pour suivre ses buts, un système fait évoluer ses normes pour modifier son environnement ou s’adapter à ses variations (Durkheim, Merton)
La résistance au changement cède toujours le pas à l’instinct de survie (Guy Dejean)
Le changement évolutif commence par une prise de conscience de la finalité commune (Dominique Bériot)
Il n’y a pas de changement sans travail simultané sur les croyances et les pratiques (B. Lecerf-Thomas)
Toute avancée, même modeste, permet d’obtenir des informations rendant plus facile l’avancée suivante (A. Yatchinovsky)
Pour se déployer, mettre en place des unités de réplication (…)
Tout groupe au sein d’une entreprise cherche à maximiser son pouvoir, sous contrainte minimum de survie de l’organisation (G. Dejean)
Le ‘manager jardinier’ tire son autorité de sa capacité à rendre auteurs tous les acteurs de l’entreprise (J. Chaize)
Tout champ est un espace de luttes entre acteurs qui cherchent à y maintenir ou y améliorer leur position (P. Bourdieu)
Les dysfonctionnements d’un système bureaucratique sont essentiels à son équilibre (M. Crozier)
Le Système d’Information est un moyen utilisé par toute organisation pour maintenir sa structure (H. Laborit)
Tout Système d’Information est le reflet de la sociologie d’une organisation (Cf. analogie / sociologie urbaine)
Est complexe un système dont chaque partie en est le centre (…)
La culture d’entreprise est le réplicateur qui permet de préserver l’intégrité de l’entreprise (…)
Les crises s’installent dans les brisures de continuum (…)
Un système est frappé d’impuissance quand ses formes de régulation ne sont pas à l’échelle des défis (P. Calame)
Les structures organisent les activités qui en retour les organisent en leur donnant une finalité (A. Giddens)
Le manager est le produit du système qu’il produit (…)
La cohérence du tout nécessite que la connaissance du tout soit contenue dans chaque partie (Edgar Morin)
Incorporer des ressources de basse entropie (…)
Un niveau d’organisation est pertinent s’il permet à l’organisation d’être en clôture opérationnelle (…)
La complexité d’un système doit être au moins aussi forte que celle de l’environnement qu’il pilote (W. R. Ashby)
Il n’y a de langue que dans le discours lié (W. Von Humboldt)
Connaître les parties pour connaître le tout, connaître le tout pour connaître les parties (Blaise Pascal)
Le contraire d’une vérité n’est pas une erreur, mais une vérité contraire (B. Pascal)
Rechercher la bonne contrainte, au bon endroit, au bon moment (E. Goldratt)
Ne pas faire de saut incohérent dans l’évolution de la fonction de sélection (…)
Sélectionner le phénotype, ne pas chercher à construire le génotype (…)
Les capacités d’exécution ne se décrètent pas, mais doivent être construites (…)
L’évolution d’une organisation n’est pas fondée sur la redondance mais sur la variété de ses éléments (Joël de Rosnay)
L’auto-organisation accroît la complexité en augmentant la variété et en diminuant la redondance (H. Atlan, H. von Foerster)
Le devenir habituel des régulations en tendance est le pompage (épuisement) du système
Un système vivant (cognitif) n’est viable que s’il renouvelle continûment ses éléments (…)
Tout système s’asphyxie par l’entropie de sa propre complexification, et doit être rebâti de plus bas (…)
Les crises d’organisation sont le résultat d’une interruption du passage du sens d’un niveau d’organisation à l’autre (H. Atlan)
Les mécanismes d’auto-organisation émergent lors de transitions de phase (…)
Les systèmes nouveaux apparaissent en bordure du chaos par émergence de processus auto-organisés (Ch. Langton)
Les grands systèmes interactifs évoluent naturellement vers un état critique en bordure du chaos (P. Bak)
L’évolution se fait par sauts dans un référentiel ‘différenciation-intégration’ (J-L Le Moigne)
L’évolution se fait de manière brutale, par sauts, espacés de périodes quasi-stationnaires (Stephen Jay Gould)
Pour créer de l’ordre, il faut générer une asymétrie (…)
Un groupe produit deux catégories de mèmes : des gardiens de la conformité et des générateurs de diversité (JP Baquiast, H. Bloom)
Pour qu’une évolution se produise, l’information doit mourir (Ch. Langton)
Pour enrichir un système, il faut de la redondance et des perturbations (H. Atlan)
Un système s’adapte aux changements lorsqu’il est agressé par des événements du monde extérieur (J. de Rosnay)
Tout système doit porter en lui-même des sources de changement et sa propre remise en question (J. Mélèse)
L’émergence d’un niveau d’organisation ne peut naître que de la restriction du champ des possibles (I. Prigogine)
Un système vit dans les limites qu’il impose au temps (E. Jaques)
Nous avons besoin d’oublier le passé pour pouvoir appréhender le futur (H. Bergson)
Une vérité scientifique triomphe car ses opposants meurent un jour et qu’une nouvelle génération, familiarisée avec elle, paraît (M. Planck)
Un Système d’Information est en soi un super-organisme en évolution formé de l’association d’entités en co-évolution. (J-P Baquiast)
Disparaît en nous ce qui est négligé, ce qui a cessé d’être sollicité (J-C Ameisen)
Un système s’auto-organise pour accroître sa stabilité structurale, son ordre fonctionnel, son invariance (G. Chauvet)
Un système s’unifie en créant des interactions fonctionnelles entre ses discontinuités structurales (G. Chauvet)
Une fonction physiologique est une interaction non-symétrique non-locale dans un espace hiérarchique. (G. Chauvet)
Deux fonctions s’associent si leur association a pour effet de créer un domaine de stabilité plus étendu (G. Chauvet)
Le pouvoir est la capacité à maîtriser une zone d’incertitude (M. Crozier, E. Friedberg)
Les interactions locales de petite envergure peuvent créer des structures à grande échelle (T. Schelling)
Plus les éléments d’un système sont interconnectés, moindre est le contrôle de chacun sur l’ensemble du système (H. von Foerster)
Lorsque deux systèmes sont sollicités en même temps, leurs liens directs ou indirects se renforcent (D. Hebb)
Le don a pour fonction sociale de tisser des alliances (…)
Les réseaux de densité de mouvement élevée absorbent les réseaux de densité de mouvement plus faible (P. Forget, G. Polycarpe)
L’accélération du temps au travers d’une crise volontaire peut permettre d’atteindre un nouveau point d’équilibre (B. Lecerf-Thomas)
La boucle étrange du soi et la conscience émergent d’un répertoire de catégories suffisamment complexe (D. Hofstadter)
Le renforcement de boucles auto-référentielles fait émerger la conscience qui rend possible l’autonomie (…)
Les mutations engendrent des variations individuelles, des innovations et des anomalies tératologiques (J. Chaline)
La sélection naturelle favorise le développement des organes avantageux (J. Chaline)
L’accélération du développement change la forme de l’organisme et permet de faire un bond évolutif en innovant (J. Chaline)
Un système déjà performant se renforce par auto-catalyse et exclusion compétitive de ses concurrents (J. de Rosnay)
Courir le plus vite possible pour rester sur place. Pour aller autre part, courir au moins deux fois plus vite (L. Carroll)
L’évolution favorise les systèmes qui génèrent des gains de productivité (P. Grou)
L’évolution favorise les systèmes qui dissipent le plus d’énergie (R. Dewar)
Plus la communication est rapide, plus la complexité que peut atteindre un système est élevée (I. Prigogine)
Le premier est très loin devant le second, qui lui-même est très loin devant le troisième, etc (G.K. Zipf)
La vitesse d’évolution d’un système dépend du nombre et de la distribution de ses formes intermédiaires (…)
Quelques règles simples suffisent pour faire émerger par auto-organisation des structures complexes (M. Gell-Mann)
Un embryon de système est capable de développer ses capacités opératoires au contact de l’environnement sur lequel il est ouvert (Jacques Mélèse)
L’évolution favorise les systèmes qui s’organisent à partir de niveaux intermédiaires stables (Herbert Alexander Simon)
L’adaptation et l’évolution d’un système nécessitent un accroissement de l’information (Karl Sigmundovich Trincher)
L’évolution complexe est favorisée par l’augmentation des contraintes spatiales et la diminution des contraintes temporelles (Y. Kocher)
La complexification d’un système résulte de l’action de quatre opérateurs : reproduire, différencier, hiérarchiser, lier (Y. Kocher)
Tout saut d’énergie provoque des duplications et ajoute des niveaux hiérarchiques (Laurent Nottale, Jean Chaline)
L’ontogenèse et la phylogenèse ne forment qu’un processus unique (Jean-Jacques Kupiec, Pierre Sonigo)
Augmenter la quantité à un niveau inférieur fait émerger de nouvelles qualités à un niveau supérieur (Pierre Bricage)
Le cycle de vie d’un système fait succéder : juxtaposition, structuration, concentration, délocalisation (Thierry Gaudin)
Si sa taille croît, un système se divise ou se fractalise pour que : [ surface des échanges ÷ volume du métabolisme ] > seuil limite
L’union différencie (Pierre Teilhard de Chardin)
L’ontogenèse récapitule la phylogenèse (Ernst Haeckel)
L’ordre d’un système peut être accru par le bruit : principe d’organisation par disponibilité à l’événement (Heinz Von Foerster)
L’ordre d’un système peut être accru à partir d’ordre : principe d’organisation par importation de variété (Erwin Schrödinger)
Tout manque de stabilité est dû à un défaut de transversalité (René Thom)
Le ‘minimum d’entropie produite’ définit l’état stable des systèmes ouverts (Ilya Prigogine)
L’entropie d’un système s’analyse comme la somme d’un facteur d’échange et d’un facteur intérieur (Ilya Prigogine)
Lorsqu’un système en équilibre est soumis à une variation, il s’ajuste de manière à s’opposer à cette variation (Henry-Louis Le Chatelier)
Tout système s’adapte au travers de mécanismes évolutifs, de différenciation, et d’apprentissage (…)
Les mécanismes de l’évolution agissent sur toute entité identitaire (réplicateur)
La sélection naturelle induit la spécialisation en optimisant l’utilisation des ressources (Jean-Jacques Kupiec, Pierre Sonigo)
La sélection naturelle privilégie les entités les mieux adaptées aux ressources disponibles (Jean-Jacques Kupiec, Pierre Sonigo)
Tout entité identitaire entre en compétition, et manifeste un instinct de survie et une volonté d’expansion (Howard Bloom)
Ce n’est pas le plus fort qui survit ni le plus intelligent, mais le plus disposé à changer (Charles Darwin)
L’évolution opère par successions de croisements, de variations aléatoires et de sélections (Charles Darwin)
A chaque niveau d’organisation apparaissent des propriétés irréductibles à celles des niveaux inférieurs (…)
Chaque niveau d’organisation est un seuil où changent les objets, méthodes et conditions d’observation (François Jacob)
Les frontières de rationalité sont des frontières de structure (Jacques Mélèse)
Au sein d’un système vivant, les systèmes d’action, de contrôle, d’information, de régulation et de défense forment un seul réseau cognitif.
Tout système vivant, avec ou sans système nerveux, est un système cognitif (Humberto Maturana, Francisco Varela, Fritjof Capra)
Un système qui s’autonomise accroît ses contraintes spatiales (néguentropie) et diminue ses contraintes temporelles (asynchronie) (Kocher)
Tout système doit sa complexité à son organisation polycentrique, et non pas au nombre de ses sphères ou à leurs dimensions (Polanyi, Ayache)
Un système ne peut s’adapter à un environnement varié que grâce à la plasticité de sa structure (…)
Un système est autonome, si et seulement si, il existe une clôture opérationnelle de son organisation (Francisco Varela)
Un système est autonome s’il produit son propre sens (…)
Un système complexe est ce qu’il fait de ce que l’environnement fait de lui (Francisco Varela)
Le changement durable nécessite évolution des représentations, des modes de collaboration et des interactions avec l’environnement (Lecerf)
Un système est susceptible d’opérer, de mémoriser et de décider (Jean-Louis Le Moigne)
Tout système est une relation entre un sujet observant (interagissant) et un objet observé (interagi) ou un autre sujet (Bernard Georges)